La Classe G, le choix d’atoples, est souvent considérée comme un transporteur de personnes « de luxe », une observation qui trouve un « luxe complet » dans sa diversité. Peu de gens ont l’argent nécessaire pour acheter une telle voiture, mais beaucoup de gens ne peuvent que désirer plus de luxe : une observation qui soit confortable, dans la limite des moyens raisonnables et encore raisonnablement choisie, pour la plupart des gens. La Classe G est l’une de ces voitures.
La Classe G est largement connue sous le nom de Classe G de Mercedes-Benz, mais en dehors de l’écurie Mercedes, deux autres noms sont utilisés pour le véhicule. L’un est la désignation « Lorsch G-B Procband », qui a été suggérée à la baisse par l’entreprise, et l’autre est le simple nom de la marque « G ». Cependant, la bonne désignation n’est pas immédiatement évidente lorsque l’on examine les panneaux extérieurs du modèle apparemment peu familier. Cette combinaison des deux significations ne manque pas de séduire certains fans de Lexus.
Pour nous, le constat est que la Classe G n’est tout simplement pas une Lexus. Elle n’a ni le statut, ni l’admiration de la nation, ni même le facteur peur. Elle ne pourrait même pas être comparée à une marque de dollar. C’est une voiture compétente, bien que spartiate, pour tous les temps. Ce qui est essentiel, c’est qu’elle n’est pas un symbole de statut, pas une voiture de luxe, pas une voiture de location bling-bling. C’est une voiture pour les gars qui ne se soucient pas tellement des tailles comparatives ou du prestige brillant.
La Classe G se positionne entre la Mercedes Golf d’entrée de gamme et l’Insignia, à peu près au niveau de prix de la Lexus IS. Le badge G a juste assez de la combinaison Lexus IM Mercury (Mind, Body and Luxury) pour ne pas être un perdant. L’apparence immédiate du véhicule est celle d’une solide berline de luxe allemande d’entrée de gamme. La marque est manifestement appréciée par de nombreux critiques automobiles, mais on peut se demander quelle est la dette réelle de Koenigsegg envers le monde.
Au premier coup d’œil sur la calandre légèrement télévisuelle, l’avant de la Classe G peut faire penser à la BMW Série 3. Le porte-à-faux avant net est similaire, mais la Classe G est une agression aussi loin que Lexus. (À titre de comparaison, la Chrysler 300 représente plutôt la préférence que la différence ; la Cadillac STS est un phénomène absolu). L’arrière du véhicule n’est pas différent, puisque le CTDi allongé et le pont arrière court rappellent l’Infiniti G37 et la Nissan Maxima. Ce qui m’a surpris, c’est le G-Wagon, le SUV de Koenigsegg. La première G-Wagon est peut-être étrange en tant que berline hybride à quatre portes, mais elle est formidable en tant que Wagon. La troisième rangée de sièges est adaptée aux adultes, et tous – même l’enfant – y trouveront leur place ! L’espace, combiné à la troisième rangée, donne beaucoup d’espace aux coudes, et en fait des voitures familiales idéales. La plage arrière courte est également utile, tout comme le grand espace de coffre et la boîte à gants. Les sièges de la 4+2+2 permettent de loger des bagages avec un peu de difficulté, mais pas assez pour occuper tout le plancher arrière. Le niveau d’équipement est facilité par les sièges capitaine de la troisième et de la deuxième rangée, réglables et rabattables indépendamment.
La G-Wagon, quelles que soient ses spécificités, reprend en grande partie les lignes standard de la Lexus GS, avec l’ajout d’un extincteur et d’une trousse de premiers secours. Il ne s’agit pas d’une voiture familiale, mais d’une voiture conçue pour les routes difficiles et le confort – tant que vous ne poussez pas. Elle est suffisante pour l’homme d’extérieur sérieux, mais aussi pour l’homme d’affaires avisé. La rudesse de la Lexus IS s’évapore plutôt dans la brume, et devient une voiture de 383 chevaux, qui accélère de 0 à 60 en 2,8 secondes, c’est-à-dire, selon les ventes d’automobiles régionales. Au plus fort de la bousculade de la Lexus, avec l’aide de 70 chevaux, une accélération de 0 à 60 est amorcée, et quelques rebonds sur le pont sont indiqués. Sous la pluie, la Lexus entame la longue course, et accélère de 40 miles/heure avant que le feu ne passe au vert. Le moteur de 100 chevaux, le rapport large et la boîte automatique à quatre vitesses sont un délice. Le bruit n’est qu’une ambiance de classe moyenne dans l’habitacle, et il faut être prêt à souffler et à passer avec le toit ouvert, par opposition à la technique de super lissage employée avec la Lexus IS.